Au cabaret du paradis perdu, c’est la dernière ce soir. On ferme et on se demande ce qu’il adviendra de nous après.
Qu’avais-tu en tête Lorsqu’à ce croisement Tu aperçus nos ombres Sur la paroi D’en face
Quelques textes de Simon o Tarsier…
Au cabaret du paradis perdu, c’est la dernière ce soir. On ferme et on se demande ce qu’il adviendra de nous après.
Qu’avais-tu en tête Lorsqu’à ce croisement Tu aperçus nos ombres Sur la paroi D’en face
Et pour tout cela, merci.
Poser mes yeux sur toi quand tu ne m’ vois pas
Je ne sais rien jeter. Alors à mesure que le temps passe, tout s’accumule.
Seules certitudes : la fièvre était revenue et le train avait trois bons quarts d’heure de retard.